Chroniques, Volum 1

Portada
Silvestre, 1834
 

Pàgines seleccionades

Altres edicions - Mostra-ho tot

Frases i termes més freqüents

Passatges populars

Pàgina 79 - compagnies : le seigneur de Mauléon, le seigneur deBeaumont, le seigneur de Sandricourt, le seigneur de Lanque, le bailli de la Montagne, le seigneur de la Fayette, lieutenant de la compagnie de l'amiral de France; le seigneur de Mauvoisin, lieutenant des gens d'armes du bâtard Mathieu de
Pàgina 242 - ou carraque, .nommée la Charante, l'une des plus avantageuses pour la guerre de toute la mer. Pour décrire -la grandeur, la largeur, la force et équipage d'icelle, ce seroit pour trop allonger le compte et donner merveille aux
Pàgina 242 - pour le roi, auquel bailla en gouvernement, et sous . sa charge,; les nefs et galées ci-dessous nommées. C'est à savoir lagrand'nef ou carraque, .nommée la Charante, l'une des plus avantageuses pour la guerre de toute la mer. Pour décrire -la grandeur, la largeur, la force et équipage d'icelle, ce seroit pour trop allonger le compte et donner merveille aux
Pàgina 242 - Que que soit, elle étoit armée de douze cents hommes de guerre, sans les aides; de deux cents pièces d'artillerie, desquelles y en avoit quatorze à roues, tirant grosses pierres de fonte et boulets serpentins.,
Pàgina 242 - qui devant elle tinssent vent. Dedans étoit un gentilhomme de Bretagne, capitaine d'icelle, nommé 'messire Jean de Porcon, seigneur de Beaumont , et lieutenant du roi en la mer de Normandie. Aussi furent
Pàgina 241 - faire le rapport. Aussi y furent Jean Bigot, seigneur de Bourgueil ; Pierre de Quosquier et plusieurs autres. Ainsi partirent du port de Brest et furent passer le long de la côte d'Espagne et de Portugal, et
Pàgina 216 - supplièrent) qu'au moins, puisque toutes prières humaines avoient en dédain, que, en reconnoissant la Divinité , leur plût ouïr une laude faite à l'honneur de NotreDame, que par chacun soir chantoient devant son image. Les François à ce n'inclinèrent
Pàgina 223 - avoient été blessés, ne purent suivre le train de l'armée, mais demeurèrent là couchés et étendus, à la merci de leurs ennemis, lesquels ils attendoient d'heure en autre pour les venir assommer et leur couper les gorges. Mais mieux leur fut ; car, après que l'armée fut éloignée, sur le soir saillirent de
Pàgina 215 - étoient toutes empoisonnées et corrompues, et qu'ils se gardassent d'en boire, mais sûrement bussent de l'eau du fleuve; et aussi requirent aux François qu'il leur plût ne se trouver contre eux à l'assaut, mais à eux , aux Allemands, et aux Florentins, s'il yen avoit, laissassent la mêlée.
Pàgina 158 - qui tout court furent arrêtés. Et voyant le seigneur Ludovic les François rassemblés et unis, et de jour en jour de plus en plus fort leur puissance agrandir, ne fut pas certain de mettre à fin son entreprise jouxte le vouloir de son désir : dont au lever et au coucher, de divers propos et

Informació bibliogràfica